Conseil Druze | Magazine de Doha
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Son Eminence Cheikh Akl, Cheikh Naim Hassan s’est réuni avec une délégation du Rassemblement Démocratique et du Parti Socialiste Progressiste

2017-03-14

Beyrouth le 14 Mars, 2017
Son Eminence Cheikh Akl le secte unitarienne, les druze Cheikh Naim Hassan a reçu à la maison communautaire à Verdun-Beyrouth, une délégation du Rassemblement Démocratique et du Parti Socialiste Progressiste formées des députés Ghazi Al Aridi, Wael Abou Faour, Fouad Saad, Elie Aoun, et les membres du leadership progressiste Rima Saliba, Walid Sfeir, Mohamad Basbous, Nashaat Hassanieh, Rami El Rayess et Hadi Abou El Hassan, en présence du juge de la confession Druze l’Eminence Cheikh Ghandi Makarem, où ils ont exposé l’ensemble des développements générales.
Au cours de la réunion, son Eminence le Cheikh a mentionné les positions du Rassemblement Démocratique et son président, le député Mr. Walid Beik Joumblatt, et les efforts qui ont été et qui sont déployés pour préserver la sécurité du pays et de préserver les droits de ses composants et tous ses segments à différents stades et niveaux.
Son Eminence a confirmé que les propositions qui sortent d'ici et de là-bas à propos du dossier de la loi électorale ne tiennent pas compte de la formule nationale de la coexistence ne prenant pas en considération le droit présentation correct de l’élément existentiel au Liban représenté par la confession Druze qui a contribué à l’histoire, au présent et au futur de la constitution du Liban et son établissement. Elle s’attache aujourd’hui plus que jamais à ses fondements nationaux dans le maintien de la coexistence et le renforcement des réconciliations et dans la consolidation de la stabilité sur la base d’une vraie participation efficace.
Le député Ghazi Al Aridi a déclaré au nom de la délégation après la réunion : « Une réunion a été tenue à la maison de la sagesse et de la raison avec son Eminence Cheikh Akl Naim Hassan dans le cadre des tournées auprès des forces politiques, des autorités spirituelles et politiques pour discuter les développements globales dans les pays d’une part, et plus précisément la question de la loi électorale qui est aujourd’hui le sujet principal constituant le titre de la principale discussion politique dans le pays. J’espère qu’après une longue série de tournées que nous ayons aboutit à la fin de ces tournées comme il a été dit et que cette conclusion soit faite par raison parce que nous avons besoin de répandre la sagesse, la pensée pacifique et le recours à la raison et la sagesse pour discuter les questions nationales surtout celle-ci alors que nous sommes aux portes d’un mérite à notre opinion qui doit fondamentalement être achevé en son rendez-vous. Notre mouvement visait essentiellement à procéder aux élections gouvernementaux à temps, conformément à la nouvelle loi n’est pas le problème, mais tendre à ne pas procéder à l'élections à temps même si elle fut remise à cause d’un problème technique et nous confirmons la cause technique veut dire se mettre d’accord sur une nouvelle loi électorale préservant la diversité, le partenariat, le pluralisme et ouvrant pave la voie à l'application de tout l'Accord du Taëf en accédant à un parlement hors des restrictions confessionnelles auprès du sénat qui prend en considération les obsessions confessionnelles ainsi mentionnées dans la constitution si elles étaient pareilles à notre répétition continuelle concernant la bonne foi et la vrai volonté d’aboutir aux élections, nous serons capable de s’entendre sur une loi. Hors de ce cadre, nous affronterons une crise politique majeure sous le titre du vide ou du non vide. Tout cela se reflète négativement sur les faits politiques, économiques, sociaux et financiers du pays dont nous sommes dispensables après notre expérience de deux ans et demi du vide présidentiel. Nous espérons que les contacts s’intensifient ainsi que les réunions, les consultations et les discussions entre toutes les forces politiques pour arriver à un tel accord.
« Le groupe concerné dans le parti politique étudie les propositions et les programmes électoraux, travaille sur l’analyser des pensées avancées pour que nous proposons une opinion finale. Mais aujourd’hui, il est clair, d’après les attitudes constatées, que la situation se dirige dans un sens inverse car ce sujet n’est pas accepté par les forces politiques principales du pays. Dans tous les cas, les discussions doivent rester ouvertes».